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24 septembre 2022 6 24 /09 /septembre /2022 16:06

A ouvert à Dijon la boutique K-Shoppu, qui propose des produits coréens et japonais dans la capitale des ducs de Bourgogne. Un projet bienvenu né grâce à une campagne sur Ulule, et que soutient pleinement le comité régional Bourgogne-Franche-Comté de l'AAFC pour mieux faire connaître la culture coréenne et, au-delà, de l'Asie du Nord-Est.

Wilson Inthavong, avec la mascotte de son magasin, Noodu

Wilson Inthavong, avec la mascotte de son magasin, Noodu

Le principe de K-Shoppu est né de celui des konbinis (ou épiceries snack), les supérettes de quartier au Japon où les clients peuvent manger sur place les produits qu'ils achètent.

A l'origine de ce projet, un jeune âgé de 30 ans, Wilson Inthavong, qui a décidé d'élargir son champ d'action aux produits non seulement japonais, mais aussi coréens.

Pour que K-Shoppu devienne réalité et ouvre ses portes au centre-ville de Dijon, 82 rue Berbisey, Wilson Inthavong a lancé une campagne de financement participatif sur Ulule : pari gagné, avec  4 015 euros réunis le 21 juin 2021 grâce à 38 contributeurs, l'objectif initial a été dépassé ( 3 500 euros).

L'espace de K-Shoppu est organisé autour d'une zone de vente, d'un espace consommation et d'un coin lecture, dans une démarche culturelle globale visant à mieux faire connaître la Corée et le Japon.

Nous souhaitons longue vie et plein succès à K-Shoppu.

 

Sources :

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30 septembre 2018 7 30 /09 /septembre /2018 20:10

Née en 1969 à Séoul, la Sud-Coréenne Youn Sun Nah (nom de famille : Nah) s'est imposée comme un des noms du jazz contemporain en France (s'illustrant également dans un style blues), particulièrement populaire - sorti en septembre 2010, son album Same Girl a ainsi été disque d'or et meilleure vente de jazz de l'année 2011 . Ses prochains concerts l'annoncent notamment au Cèdre, à Chenôve, le 7 novembre 2018, et à Besançon, au théâtre Ledoux, le 18 novembre 2018. Portrait d'une artiste de talent.

La chanteuse de jazz coréenne Youn Sun Nah à Chenôve et à Besançon en novembre 2018

Youn Sun Nah a grandi dans un milieu musical, entre un père chef de chœur et une mère actrice de comédies musicales. Ayant elle-même commencé le piano à l'âge de 5 ans (avant de l'abandonner à 13 ans), fait des études de lettres puis joué dans des comédies musicales, c'est en France, à Paris, qu'elle se forme à la musique et au chant à partir de 1995. Elle sort son premier album Reflets en 2001, partageant désormais sa vie entre Paris et Séoul.

Lauréate de prix à différentes reprises en France, en Corée et en Allemagne (ainsi, son album Same Girl, sorti en 2010, a reçu de l'Académie du Jazz le Prix Mimi Perrin du Jazz Vocal 2010, ainsi qu'un Echo Award en Allemagne, en tant que meilleure chanteuse internationale de jazz, et un Korean Music Award), Youn Sun Nah s'est notamment illustrée par le duo voix et guitare qu’elle a constitué avec Ulf Wakenius.

Son dernier album, She Moves On, est sorti chez ACT en 2017.

Principale source : site de l'artiste.

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18 août 2018 6 18 /08 /août /2018 12:57

Organisé par la Ligue de l'Enseignement de Côte d'Or et l'Union départementale des MJC de Côte d'Or, le Grand Dej' est un incontournable des rendez-vous de la vie associative dijonnaise : organisé depuis 2001 avec "pour objectif de valoriser le rôle citoyen, social ou culturel des associations bourguignonnes", il réunit chaque année 250 associations et 7000 à 9000 visiteurs (entrée gratuite). L'Association d'amitié franco-coréenne Bourgogne-Franche-Comté participera à l'édition 2018 du Grand Dej' le 23 septembre 2018, sur les berges de la pointe ouest du lac Kir, de 10h à 18h. Nous vous invitons toutes et tous à nous y retrouver. 

Retrouvez l'AAFC-Bourgogne-Franche-Comté à Dijon, au Grand Dej', le 23 septembre 2018

Vous en entendez souvent parler, mais connaissez-vous vraiment la Corée ? Depuis 2008, l'AAFC-Bourgogne-Franche-Comté vise à faire connaître la culture coréenne (de toute la Corée : Nord, Sud et diaspora) en Bourgogne et également (depuis 2016) en Franche-Comté, depuis la réunion des deux régions administratives. Son site Internet est le seul média spécialisé sur la Corée dans notre région, avec des centaines d'articles publiés depuis dix ans. L'AAFC-Bourgogne-Franche-Comté s'est aussi tout particulièrement impliquée dans l'organisation de manifestations culturelles et des activités de solidarité avec le peuple coréen, notamment dans les domaines de l'agriculture (y compris par la participation à des campagnes d'aide d'urgence aux populations nord-coréennes victimes d'inondations) et de l'architecture

Quel que soit votre domaine d'intérêt pour la Corée, l'AAFC - Bourgogne-Franche-Comté vous donne rendez-vous sur son stand à l'occasion du Grand' Dej' le 23 septembre 2018, au lac Kir, pour débattre, échanger et ouvrir de nouvelles perspectives de coopération franco-coréenne en Côte d'Or et en Bourgogne-Franche-Comté. 

Source : 

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5 juin 2018 2 05 /06 /juin /2018 21:45

La huitième édition du festival d'arts urbains Bien Urbain se tiendra à Besançon du 8 juin au 8 juillet 2018, avec la participation de quinze artistes internationaux, peintres muraux, auteurs d'installations ou de spectacles. Parmi les artistes présents figure l'artiste coréenne plasticienne Jazoo Yang, qui vit à Berlin, et dont nous reproduisons ci-après la présentation par les organisateurs du festival.

L'artiste coréenne plasticienne Jazoo Yang au festival Bien Urbain de Besançon

Jazoo Yang est intéressée par l’évolution des villes et la poésie nostalgique qui se dégage des quartiers populaires démolis à grande vitesse pour laisser place à d’immenses immeubles d’appartements ou bureaux. Pour cette série, elle a parcouru les ruelles et maisons condamnées de Busan en Corée pour en prélever des bribes : peinture craquelée, mousse de matelas, moustiquaire, papier peint décollé, plastiques… Elle les agence ensuite à la manière de collages abstraits, figés par une résine transparente révélant les matières et leur fragilité.

Le programme du festival comporte par ailleurs :

- le jeudi 14 juin, à 19h, à la Maison de l'Architecture, le vernissage de l'exposition de Jazoo Yang ;

- le mercredi 27 juin, à 18h, une rencontre avec Jazoo Yang à la Maison de l'Architecture ;

- le vendredi 6 juillet, à 18h, une visite guidée de l'exposition de Jazoo Yang à la Maison de l'Architecture. 

Source : 

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11 février 2018 7 11 /02 /février /2018 21:54

Dans notre édition du 28 janvier 2018, nous rendions compte de l'échange franco-coréen dans le domaine de l'enseignement à l'établissement régional d'enseignement adapté (EREA) Alain Fournier de Beaune. En réalité, ce sont deux enseignants côte-d'oriens qui ont visité la République de Corée, puis deux enseignants sud-coréens qui ont visité la Côte d'Or. Reportage.

Jin Sunwoo, avec les élèves du collège André-Malraux à Dijon

Jin Sunwoo, avec les élèves du collège André-Malraux à Dijon

A l'avant-veille de l'ouverture des Jeux olympiques de Pyeongchang, le quotidien régional Le Bien Public, dans son édition du 5 février 2018, a mis en lumière un enrichissant échange d'expériences franco-coréen dans le domaine de l'enseignement du sport. 

Joseph Freichel, enseignant d'EPS au collège André-Malraux à Dijon, a visité Séoul et Gwangju en République de Corée (Corée du Sud) en août 2017, dans le cadre d'un programme soutenu par l'Unesco - puis six enseignants sud-coréens sont venus à leur tour en France, dont deux en Côte d'Or (une à l'EREA de Beaune, l'autre au collège André-Malraux). C'est ainsi que pendant deux semaines les élèves du collège André-Malraux ont eu deux enseignants en EPS : Joseph Freichel, et Jin Sunwoo - qui a donné les cours en anglais.

Alors que le retour sur expériences, très positif, conduit à envisager à renouveler les échanges en les élargissant à d'autres pays pendant l'année scolaire 2018-2019, Christiane de la Grange, principale du collège André-Malraux, en tire la conclusion que l'enseignement sud-coréen (contrairement à celui français) met beaucoup plus en avant le collectif que l'individu. Pour nous, l'enseignement reflète logiquement la culture coréenne - dans laquelle l'individu se définit d'abord par son appartenance à plusieurs groupes.  

Source : 

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28 janvier 2018 7 28 /01 /janvier /2018 17:36

Arrivée en France le 22 janvier 2018, Sou-Kuyung Yang, professeure de français dans un lycée privée de jeunes filles en République de Corée (Corée du Sud), est actuellement l'invitée de l'Etablissement régional d'enseignement adapté (EREA) Alain Fournier de Beaune. Une visite qui s'inscrit dans un programme d'échanges franco-coréen.

Les élèves ont écrit leur nom en alphabet coréen

Les élèves ont écrit leur nom en alphabet coréen

C'est d'abord Géraldine Mazué, professeure d'anglais à l'EREA de Beaune, qui s'était rendue en Corée dans le cadre du programme Teachers across borders (Enseignants sans frontières). Puis sa collègue coréenne Sou-Kuyung Yang est venue en France, où elle a participé aux cours d'horticulture de l'établissement beaunois puis rencontré une classe en première année de Capa (certificat d'aptitude professionnelle agricole). Elle a aussi été reçue à l'hôtel de ville par le maire Alain Suguenot.

Une rencontre enrichissante qui, de l'avis de Géraldine Mazué, a pu constater les différences entre les méthodes d'enseignement entre la France et la Corée du Sud en déclarant au Bien Public :

J'ai vraiment découvert une autre culture, un autre système d'éducation (...) En Corée du Sud, tout se fait par écrit. Les élèves ne s'expriment pratiquement pas oralement.

Un témoignage qui doit bien sûr être resitué dans son contexte, puisque si les cours en Corée sont moins interactifs qu'en France, l'apprentissage des langues étrangères met davantage l'accent sur la maîtrise orale.

Source :

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17 décembre 2017 7 17 /12 /décembre /2017 23:05

Le Centre de linguistique appliquée (CLA) de Besançon accueille de nombreux étudiants coréens en français langue étrangère - y compris une promotion de dix étudiants nord-coréens pendant l'année 2002-2003. Une association de jeunes Français(e)s passionné(e)s par la Corée, K-Owls ("K" pour Corée, et "owls" pour "chouettes") a publié, en novembre 2017, un très intéressant article issu d'entretiens avec trois étudiants (sud-)coréens du CLA, sobrement intitulé "Rencontre avec des étudiants coréens du CLA", qui offre un témoignage de première main sur les relations interculturelles. Nous reproduisons ci-après cet article.  

Le centre de linguistique appliquée de Besançon

Le centre de linguistique appliquée de Besançon

Le CLA, centre de langue appliquée, est une célèbre structure située à Besançon pour apprendre le français comme langue étrangère. De nombreux étudiants de diverses nationalités côtoient la structure fondée en 1958, dont Seon Hoon et Sang Min. J’ai eu l’opportunité de rencontrer autour d’un verre ces deux étudiants coréens, pour leur poser des questions sur leur vie et leurs études en France. Da Eun, qui était déjà repartie en Corée, a eu la gentillesse de bien vouloir répondre à mes questions par message.
 

  • Pour commencer, pouvez-vous vous présenter ?

Bonjour, je suis Da Eun et j’ai 24 ans. J’habite à Séoul. Je suis actuellement en licence de langues et cultures françaises et administration des affaires à l’université de Duksung.

Je m’appelle Sang Min, j’ai 24 ans. J’étudie au CLA. Je viens de Changwon mais j’habite à Séoul.

Je suis Seon Hoon, j’ai 20 ans. J’étudie le français au CLA et je viens aussi de Séoul.

  • Pourquoi avoir choisi la France ? Pourquoi vouloir apprendre le français ?

Sang Min : ma sœur a étudié en France dans le cadre d’un échange. Cela m’a conforté dans mon choix de découvrir une culture étrangère.

Seon Hoon : parce que je voulais côtoyer une culture occidentale. De plus, ma petite cousine habite en France donc j’ai décidé de venir ici.

  • Comment se passent ou se sont passées vos études au CLA ? Quelles sont les différences scolaires entre la Corée et la France ?

Da Eun : Le CLA est vraiment un bon institut pour apprendre le français. En plus, j’ai rencontré de très gentils professeurs et camarades. J’ai eu beaucoup de chance ! Normalement, chez nous, la licence dure quatre ans. On ne fait pas beaucoup d’interactions en cours. La plupart des étudiants sont juste là pour écouter les professeurs c’est pour ça que j’étais vraiment calme dans mon cours.

Sang Min : J’aime beaucoup le CLA, tout se passe bien sauf que je ne suis pas habitué à participer en cours. En France, les gens aiment bien interagir, donner leur avis, commencer des débats. En Corée, on n’ose pas par peur de déranger et que ça met mal à l’aise. Si on a une question, on la pose au professeur à la fin du cours mais pas pendant.

Seon Hoon : Mes études au CLA se passent bien. Je suivais des cours du soir dans une académie en Corée pour apprendre le français mais on étudiait surtout de la grammaire. C’est mieux d’apprendre le français en France. Les cours en Corée sont durs et très stressants, plus qu’en France.

  • Rencontrez-vous des difficultés culturelles ?

Da Eun : Il y en a vraiment beaucoup, mais je pense notamment qu’en Corée, on ne dit pas « bonjour » si on ne connaît pas la personne. Aussi, beaucoup de supermarchés sont ouverts 24h/24 7j/7. Normalement, chez nous, presque tous les magasins travaillent pendant les jours fériés.

Sang Min : Les Français sont plutôt indifférents au style vestimentaire de leurs amis. En Corée, les gens font beaucoup de commentaires sur la manière de s’habiller et se moquent lorsque par exemple, une fille est mal ou pas assez maquillée. Les Français font moins intention à l’apparence que les Coréens. Aussi, c’était bizarre pour moi de ne plus avoir à faire attention à la hiérarchie, aux règles coréennes et au langage formel en parlant avec des Français. Mais à chaque fois que je parle avec des amis ou ma famille, je dois faire attention de ne pas oublier ces règles de politesse !

Seon Hoon : En France, les personnes demandent toujours comment on va alors qu’en Corée ça ne se fait pas.

  • Quelles sont les choses qui vous ont marqué lors de votre arrivée dans notre pays ?

Da Eun : J’ai été choquée par l’administration. Quand je suis allée à la banque pour fermer mon compte, je devais prendre un rendez-vous pour ça ! Chez nous, ça ne fonctionne pas comme ça. Généralement, on peut faire les papiers administratifs en un jour. De plus, la vitesse d’internet m’a aussi choquée parce que chez nous c’est vraiment rapide. On peut l’utiliser partout, même dans le métro et à la campagne.

Sang Min : J’ai été choqué par le comportement des femmes. Les Françaises sont plus naturelles, courageuses, elles ont des attitudes similaires aux hommes alors qu’en Corée, les femmes sont timides, effacées et je pense que certaines profitent de leur identité de femme faible comme excuse pour ne pas affronter certaines situations. Elles sont vite démotivées.

Seon Hoon : Les personnes qui fument en marchant, c’est quelque chose qui m’a choqué. On ne voit pas ça en Corée ! Le trajet d’avion aussi m’a un peu choqué, car c’était très long !

  • Qu’aimez-vous faire à Besançon ? Et en France ?

Da Eun : Ah le temps passe très vite ! Mes souvenirs au CLA sont incroyables ! Je passais du temps avec mes amis lors des sorties pédagogiques, pendant les soirées internationales etc.  J’ai pu apprendre beaucoup sur la culture française, et pas seulement en linguistique. Quand j’étais à Besançon, j’aimais bien me promener au bord du Doubs avec mes amis. On a souvent fait des pique-nique ensemble. Les paysages sont merveilleux ! J’aimais aller faire du crossfit avec mon ami. C’était vraiment dur mais je gardais la forme comme ça !

Sang Min : J’aime beaucoup voyager. Je suis donc allé à la Dune du Pilat, qui est gigantesque ! Je me suis rendu à Roland Garros et suis allé faire du surf à Bayonne. J’aime beaucoup les événements sportifs en France.

Seon Hoon : J’aime bien sortir car les boissons ne sont pas chères en France ! J’aime beaucoup les paysages français qui sont très différents de la Corée. Ma ville préférée est Colmar. Je trouve que c’est la plus belle ville de France.

  • Que voudriez-vous conseiller aux lecteurs de K.Owls qui souhaitent partir étudier en Corée ?

Da Eun : J’aimerais vous conseiller de visiter les anciens palais avec des amis coréens. À Séoul, il y a fleuve Han. Il est vraiment grand et le paysage est beau. On peut même commander ce qu’on veut à manger depuis le fleuve et être livré là-bas ! C’est pour ça beaucoup de gens mangent du poulet avec des bières. Il y a aussi des food trucks qui vendent une grande variété de plats. C’est vraiment nickel !!

Sang Min : Les Coréens aiment beaucoup la culture française donc ils sont bienveillants avec eux. Les Français n’ont pas de difficultés à se faire des amis en Corée. Il y a beaucoup de restos à tester en Corée et pas mal de lieux où s’amuser. Par contre, le logement est très cher, surtout à Séoul.

Seon Hoon : Il faut faire attention au trafic routier qui est dense mais il y a beaucoup de transports en commun qui sont pratiques et rapides. Le réseau internet est très rapide et ça c’est très bien ! Il y a quasiment pas de violence en Corée et c’est un point positif pour les étrangers qui viennent étudier. Il faut aussi penser à s’adapter aux règles de la société coréenne par exemple, la hiérarchie. Aussi, dans notre pays, les gens boivent énormément.

Merci beaucoup à Da Eun, Sang Min et Seon Hoon pour m’avoir consacré un peu de leur temps !

Remerciement spécial à Amy Lee qui a permis cette rencontre.

Source :

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15 octobre 2017 7 15 /10 /octobre /2017 13:59

En septembre 2017, l'équipe française de magie qui participera l'an prochain aux Championnats du monde de la discipline à Busan, en République de Corée (plus de 3 000 participants attendus du 9 au 14 juillet 2018 pour cette manifestation organisée tous les trois ans par la Fédération Internationale des Sociétés de Magie), s'est entraînée dans le Doubs, où elle a donné deux festivals de gala. Nous reproduisons ci-après un article sur son passage en Franche-Comté, publié sur le site collaboratif (dont l'équipe de rédaction est constituée d'une équipe de professionnels et d'amateurs) macommune.com, qui couvre l'information locale relative aux 59 communes du Grand Besançon. 

Championnats du monde de magie 2018 à Busan : les Français se sont entraînés dans le Doubs
L’équipe de France de Magie prépare ses tours dans le Doubs


L'équipe de France de Magie FFAP (fédération française des artistes prestidigitateurs) vient s'entraîner dans le Doubs du 24 au 28 septembre 2017 à Vaux-et-Chantegrue. En fin de séjour, les magiciens se produiront pour deux galas au Kursaal de Besançon et à Labergement-Sainte-Marie. 
 

En préparation pour les Championnats de France 2017 et du monde 2018 en Corée, l’équipe de france de magie FFAP  sera exceptionnellement en stage de perfectionnement dans la région. Les membres du Cercle Magique Comtois sont dans les starting blocks et accueilliront pour la première fois l'équipe de France quatre jours de formation et deux galas publics inédits.
 
Une quinzaine de prestidigitateurs, parmi les plus en vue du moment, se retrouveront à Vaux-et-Chantegrue pour quatre jours de travail intensif. Encadrés et conseillés par des illusionnistes de renom, les artistes peaufineront manipulations et présentations à quelques jours des championnats de France de Saint-Malo.
 
Des répétitions à huit clos, secret oblige !
 
Seuls les écoliers de Vaux-et-Chantegrue auront la chance, d’assister à une répétition mardi matin. Pour les autres, il faudra attendre les deux galas prévus à Besançon et à Labergement-Sainte-Marie, les mardi 26 et mercredi 27 septembre. Occasion unique de voir sur scène plus de 12 artistes, primés dans de nombreux concours internationaux et habitués des plateaux TV. 
 
C’est le cas du magicien comique Jimmy Delp, qui après son passage au plus grand cabaret du monde totalise déjà plus de 5 millions de vue sur Youtube ou de Charly,  le champion de France de magie en titre, qui présente un numéro très mystérieux.
Les coachs seront eux aussi sur scène, comme Gaëtan Bloom, qui au delà de sa carrière internationnale s’est déjà produit à 4.000 reprises sur la scène du Crazy Horse !
 
LES GALAS 
 
  • Besançon, Grand Kursaal : Mardi 26 septembre 2017 à 20h30
  • Labergement-Sainte-Marie, Espace les Vallières : Mercredi 27 septembre 2017 à 20h00
Avec : Alexandre Laigneau, Beryl, Charly, Gaëtan Bloom, Félix, Hugues Protat, Jimmy Delp, Pathy Bad, Anthony Néaud, Pierre Spiry, Yann Brieux, Jean Régil, Florian Sainvet.
 
  •  Adultes : 23 euros / Enfants (-14 ans) : 17 euros
  • Réservations dans les points de vente habituels : FNAC, Carrefour, Géant, Leclerc, Super U, Forum ou NG Productions www.ngproductions.fr
Championnats du monde de magie 2018 à Busan : les Français se sont entraînés dans le Doubs
Championnats du monde de magie 2018 à Busan : les Français se sont entraînés dans le Doubs
Championnats du monde de magie 2018 à Busan : les Français se sont entraînés dans le Doubs
Championnats du monde de magie 2018 à Busan : les Français se sont entraînés dans le Doubs
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